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Puis-je dormir avec mon chien ?

22/11/2019

Puis-je dormir avec mon chien ?

Du point de vue du propriétaire :

 

Il y a la question de l’hygiène. Etes-vous prêts à accepter que votre chien qui perd ses poils, qui a pu se rouler dans l’herbe, la terre voire dans des matières non identifiées, vienne se coucher sur votre lit ?

 

Il y a la question du confort du sommeil. Une étude a révélé que les personnes qui dormaient avec leur animal de compagnie étaient plus souvent victime d’insomnies et de fatigue chronique. Et oui, ça prend de la place ces petites bêtes. On a peur de les bousculer en se retournant, on n’ose à peine bouger pour ne pas les réveiller. Sans parler des animaux ronfleurs qui nous empêchent de nous endormir. Et vous, comment ça se passe chez vous ?

 

Il y a la question du lien affectif et de sécurité. Il est parfois difficile de se passer de son animal pour s’endormir. Une autre étude montre que le chien permet un endormissement plus facile grâce à l'apaisement apporté par sa présence. Tel un doudou réconfortant, il peut nous sécuriser et nous permettre de lâche prise afin de partir sereinement au pays de rêves. Il peut nous rassurer en cas de bruits suspects et donner l’alerte pour dissuader d’éventuels voleurs. Comment percevez-vous les choses ?

 

Du point de vue du chien :

 

Il y a la question du confort du lieu de couchage. Bon nombres de chiens trouvent le lit bien plus confortable que leur panier ou leur tapis. Ce sont des nidicoles. Pouvoir se lover dans un nid douillet est une source d’apaisement pour eux.

 

Il y a la question du lien affectif. Comme nous, le chien est issu d’une espèce sociale. Il ne supporte pas la solitude. Partager le lieu de repos avec son binôme humain lui procure généralement beaucoup de bien-être. Surtout s’il vit comme unique animal chez vous.

 

Il y a la question de la sécurité. Tout comme l’humain, le chien se sécurise lorsqu’il dort contre nous. La peur n’est pas une émotion propre à l’homme. En cas de situation inquiétante, il est de bonne augure de se blottir contre son binôme humain afin de se sentir rassurer. Et ce que l’on soit chihuahua, berger allemand ou dogue argentin.

 

Les risques encourus : 

 

Des accidents peuvent arriver dont les causes sont multiples. Ex. Vous pouvez coincer la patte de votre animal en vous retournant, vous pouvez lui faire extrêmement peur en sursautant à cause d’un cauchemar. Il peut vous mordre sans le vouloir (agression redirigée) car il a une douleur vive (à cause de son arthrose) lorsqu’il monte sur le lit. Il peut vous agresser car il fait de la protection de ressources et n’a pas décidé de partager le couchage avec vous... Encore une fois, il faut tenir compte des bénéfices et des risques que constitue le fait de dormir avec son chien.

 

Il peut également vous transmettre des parasites si vous ne l’avez pas correctement traité (puces, tiques, vers intestinaux …). Il ne faut pas minimiser ce paramètre et respecter des plannings stricts de déparasitage pour éviter certaines zoonoses (maladies transmissibles à l'humain) liées à ces parasites. Il en est de même pour les maladies transmises pour les micro-organismes (champignons, bactéries, virus...) qui peuvent être la source de diverses maladies (leptospirose, maladie de lyme, teigne...). Il est important de faire suivre régulièrement son animal par le vétérinaire en cas de symptômes ou de doutes ! 

 

C’est pour toutes ces raisons qu’il faut toujours peser le pour et le contre lorsque l’on envisage de dormir avec son chien. Si vous anticipez toutes les situations possibles et que vous prenez en compte tous les facteurs potentiels de désagréments, vous trouverez la bonne réponse à cette question.

 

Si votre chien pose des problèmes à ce sujet, si vous avez besoin de conseils sur les bons comportements à adopter afin d’éviter les risques ou si vous souhaitez savoir comment aménager l’espace pour sécuriser et profiter de ces moments de repos collectifs, je suis à votre disposition !

 

D’autres articles conseils sur les pratiques quotidiennes du binôme homme-animal sont à découvrir dans cette rubrique.

 

  Article rédigé par Valérie CANTALOUBE

Où mettre les toilettes de son chat ? Comment organiser son aire de déjections?

21/11/2019

Où mettre les toilettes de son chat ? Comment organiser son aire de déjections?
Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement.
Quel bac utilisé : Le modèle de bac doit tenir compte des habitudes antérieures du chat et de sa personnalité. Certains d’entre eux  ont peur du bruit et du mouvement de la porte oscillante des maisons de toilette. D’autres n’aiment pas être enfermés à cause de l’odeur résiduelle et préfèrent un bac ouvert simple. A contrario, certains ne supportent pas d’être à vue et veulent un bac couvert. 
Le bac à litière doit être mis de préférence contre un mur, un angle et non au milieu d’une pièce. Le chat emprunte toujours les mêmes chemins qu’il balise par ses phéromones pour se rendre d’une aire à l’autre. Longer les murs lui permet un état de vigilance moins accru. Il sera plus serein pour faire ses besoins.
Quel substrat utilisés : Comme pour le type de bac, il faut demander à l’ancien propriétaire quel type de matière était utilisée. Le modèle de substrat ne doit pas être modifié lorsque le chat y est habitué. Une matière trop dure, trop lourde, trop poussiéreuse, trop odorante peut le perturber et l’inciter à faire ailleurs. Si pour une raison précise, vous devez changer de substrat, il  faut toujours faire une transition, un test avant de le changer complètement.
Règles d’or pour éviter le mal-être et la malpropreté : 
Nombre de litières par chat : 
Pour un chat vivant exclusivement à l’intérieur (indoor) Il faut une litière + une litière de réserve. Pour un chat vivant à l’intérieur mais ayant accès libre à l’extérieur (outdoor), une seule litière suffit. 
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur (indoor), il faudra installer une litière par chat + une litière de réserve.
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur avec accès à l’extérieur (outdoor), il faudra une litière par chat. 
Nombre de litières par étage : Selon le mode de calcul ci-dessus pour le nombre de litière par chat, il faut multiplier par le nombre d’étages accessibles au chat. Ex : Si le chat va au rez de chaussée et au 1er étage et qu’il ne vit qu’à l’intérieur de la maison, il lui faudra 1 litière par étage + une litière de réserve placée dans la zone de vie la plus fréquentée (soit 3 litières).
Règles d’hygiène pour nettoyer la litière : Penser à bien vous laver les mains au savon en frottant sous les ongles après le nettoyage ou portez des gants. 
Pensez également à vermifuger régulièrement votre chat selon le protocole de votre vétérinaire. Le vermifuge n’a pas d’efficacité dans le temps, il tue sur l’instant. Les vers peuvent vivre enkystés dans l’organisme tout au long de la vie du chat et ressortir à n’importe quel moment. Il est donc important de le vermifuger régulièrement même s’il ne sort pas. Certaines verminoses sont transmissibles à l’homme.
Nettoyage de la litière : Il faut retirer les déjections tous les jours. Quelle personne accepterait d’uriner ou de déféquer dans des toilettes sales où la chasse d’eau n’aurait pas été tirée ? Le chat est un grand sensible et ne supporte pas plus cette situation que nous ! D’ailleurs lorsqu’il est incommodé par l’état de ses toilettes, il recouvre ses déjections. Plus il passe du temps à recouvrir et plus la situation est incommodante pour lui. Il est donc plus que temps de nettoyer de son point de vue. Certains chats ont même besoin que la litière soit nettoyée après chaque passage. 
Pour les plus frileux d’entre nous, il existe sur le marché divers types de litières autonettoyantes. Il existe également des sacs tamis jetables avec lesquels le nettoyage ne prend que 10 secondes sans se salir les mains et sans utiliser de pelle.
Nettoyage du bac : Il faut le nettoyer une fois par semaine avec un produit non irritant pour le chat dont l’odorat est sensible. Oublier les produits à base d’arguments ou de senteur trop forte. Pour bien faire, il faut nettoyer avec un détergent doux (type savon ou liquide vaisselle), rincer puis passer de l’eau de javel et rincer à nouveau avant de sécher.
Conseils spécifiques selon les cas : 
Les chatons : Lors de l’arrivée du chaton, il est conseillé d’utiliser le même substrat que celui utilisé par l’ancien propriétaire. Si vous souhaitez changer par la suite, il faudra faire une transition (comme lors d’un changement d’aliments) afin de mieux lui faire accepter. Attention aux chatons élevés à l’extérieur et dont le substrat était de la terre ou du sable. Il faudra mélanger ce substrat naturel à un substrat industriel relativement meuble pour une meilleure adaptation.
Les chats malades : L’association toilettes/douleurs peut provoquer de la malpropreté. Ceci est remarqué chez les chats attend de maladie du bas appareil urinaire (cystite, calculs urinaires, polype vésical…). Il est important de  prendre les mesures d’usage pour corriger cette appréhension.
Les chats en convalescence : Il faut penser à modifier certains paramètres selon l’état du chat. S’il porte un carcan (collerette) ou un gros pansement (type Robert Jones), il faudra modifier l’accès à ses toilettes. Penser à retirer le haut de la maison de toilette par exemple. Réduire le chemin entre son aire de déjections et les autres aires. 
Les vieux chats : La mobilité peut être réduite chez les vieux chats et les douleurs articulaires (arthrose) peuvent décourager ces derniers à aller jusqu’à la litière car cela est trop fatigant et trop douloureux. Il faut veiller à changer de bac pour qu’il soit plus accessible et de rapprocher l’aire de déjections de son lieu de repos.
D’autres articles sont disponibles sur les comportements de déjections, la malpropreté et les besoins spécifiques du chat. N’hésitez pas à parcourir cette rubrique ! 
 
Article rédigé par Valérie CANTALOUBE

 

Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement.
Quel bac utilisé : Le modèle de bac doit tenir compte des habitudes antérieures du chat et de sa personnalité. Certains d’entre eux  ont peur du bruit et du mouvement de la porte oscillante des maisons de toilette. D’autres n’aiment pas être enfermés à cause de l’odeur résiduelle et préfèrent un bac ouvert simple. A contrario, certains ne supportent pas d’être à vue et veulent un bac couvert. 
Le bac à litière doit être mis de préférence contre un mur, un angle et non au milieu d’une pièce. Le chat emprunte toujours les mêmes chemins qu’il balise par ses phéromones pour se rendre d’une aire à l’autre. Longer les murs lui permet un état de vigilance moins accru. Il sera plus serein pour faire ses besoins.
Quel substrat utilisés : Comme pour le type de bac, il faut demander à l’ancien propriétaire quel type de matière était utilisée. Le modèle de substrat ne doit pas être modifié lorsque le chat y est habitué. Une matière trop dure, trop lourde, trop poussiéreuse, trop odorante peut le perturber et l’inciter à faire ailleurs. Si pour une raison précise, vous devez changer de substrat, il  faut toujours faire une transition, un test avant de le changer complètement.
Règles d’or pour éviter le mal-être et la malpropreté : 
Nombre de litières par chat : 
Pour un chat vivant exclusivement à l’intérieur (indoor) Il faut une litière + une litière de réserve. Pour un chat vivant à l’intérieur mais ayant accès libre à l’extérieur (outdoor), une seule litière suffit. 
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur (indoor), il faudra installer une litière par chat + une litière de réserve.
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur avec accès à l’extérieur (outdoor), il faudra une litière par chat. 
Nombre de litières par étage : Selon le mode de calcul ci-dessus pour le nombre de litière par chat, il faut multiplier par le nombre d’étages accessibles au chat. Ex : Si le chat va au rez de chaussée et au 1er étage et qu’il ne vit qu’à l’intérieur de la maison, il lui faudra 1 litière par étage + une litière de réserve placée dans la zone de vie la plus fréquentée (soit 3 litières).
Règles d’hygiène pour nettoyer la litière : Penser à bien vous laver les mains au savon en frottant sous les ongles après le nettoyage ou portez des gants. 
Pensez également à vermifuger régulièrement votre chat selon le protocole de votre vétérinaire. Le vermifuge n’a pas d’efficacité dans le temps, il tue sur l’instant. Les vers peuvent vivre enkystés dans l’organisme tout au long de la vie du chat et ressortir à n’importe quel moment. Il est donc important de le vermifuger régulièrement même s’il ne sort pas. Certaines verminoses sont transmissibles à l’homme.
Nettoyage de la litière : Il faut retirer les déjections tous les jours. Quelle personne accepterait d’uriner ou de déféquer dans des toilettes sales où la chasse d’eau n’aurait pas été tirée ? Le chat est un grand sensible et ne supporte pas plus cette situation que nous ! D’ailleurs lorsqu’il est incommodé par l’état de ses toilettes, il recouvre ses déjections. Plus il passe du temps à recouvrir et plus la situation est incommodante pour lui. Il est donc plus que temps de nettoyer de son point de vue. Certains chats ont même besoin que la litière soit nettoyée après chaque passage. 
Pour les plus frileux d’entre nous, il existe sur le marché divers types de litières autonettoyantes. Il existe également des sacs tamis jetables avec lesquels le nettoyage ne prend que 10 secondes sans se salir les mains et sans utiliser de pelle.
Nettoyage du bac : Il faut le nettoyer une fois par semaine avec un produit non irritant pour le chat dont l’odorat est sensible. Oublier les produits à base d’arguments ou de senteur trop forte. Pour bien faire, il faut nettoyer avec un détergent doux (type savon ou liquide vaisselle), rincer puis passer de l’eau de javel et rincer à nouveau avant de sécher.
Conseils spécifiques selon les cas : 
Les chatons : Lors de l’arrivée du chaton, il est conseillé d’utiliser le même substrat que celui utilisé par l’ancien propriétaire. Si vous souhaitez changer par la suite, il faudra faire une transition (comme lors d’un changement d’aliments) afin de mieux lui faire accepter. Attention aux chatons élevés à l’extérieur et dont le substrat était de la terre ou du sable. Il faudra mélanger ce substrat naturel à un substrat industriel relativement meuble pour une meilleure adaptation.
Les chats malades : L’association toilettes/douleurs peut provoquer de la malpropreté. Ceci est remarqué chez les chats attend de maladie du bas appareil urinaire (cystite, calculs urinaires, polype vésical…). Il est important de  prendre les mesures d’usage pour corriger cette appréhension.
Les chats en convalescence : Il faut penser à modifier certains paramètres selon l’état du chat. S’il porte un carcan (collerette) ou un gros pansement (type Robert Jones), il faudra modifier l’accès à ses toilettes. Penser à retirer le haut de la maison de toilette par exemple. Réduire le chemin entre son aire de déjections et les autres aires. 
Les vieux chats : La mobilité peut être réduite chez les vieux chats et les douleurs articulaires (arthrose) peuvent décourager ces derniers à aller jusqu’à la litière car cela est trop fatigant et trop douloureux. Il faut veiller à changer de bac pour qu’il soit plus accessible et de rapprocher l’aire de déjections de son lieu de repos.
D’autres articles sont disponibles sur les comportements de déjections, la malpropreté et les besoins spécifiques du chat. N’hésitez pas à parcourir cette rubrique ! 
Article rédigé par Valérie CANTALOUBe qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement.
Quel bac utilisé : Le modèle de bac doit tenir compte des habitudes antérieures du chat et de sa personnalité. Certains d’entre eux  ont peur du bruit et du mouvement de la porte oscillante des maisons de toilette. D’autres n’aiment pas être enfermés à cause de l’odeur résiduelle et préfèrent un bac ouvert simple. A contrario, certains ne supportent pas d’être à vue et veulent un bac couvert. 
Le bac à litière doit être mis de préférence contre un mur, un angle et non au milieu d’une pièce. Le chat emprunte toujours les mêmes chemins qu’il balise par ses phéromones pour se rendre d’une aire à l’autre. Longer les murs lui permet un état de vigilance moins accru. Il sera plus serein pour faire ses besoins.
Quel substrat utilisés : Comme pour le type de bac, il faut demander à l’ancien propriétaire quel type de matière était utilisée. Le modèle de substrat ne doit pas être modifié lorsque le chat y est habitué. Une matière trop dure, trop lourde, trop poussiéreuse, trop odorante peut le perturber et l’inciter à faire ailleurs. Si pour une raison précise, vous devez changer de substrat, il  faut toujours faire une transition, un test avant de le changer complètement.
Règles d’or pour éviter le mal-être et la malpropreté : 
Nombre de litières par chat : 
Pour un chat vivant exclusivement à l’intérieur (indoor) Il faut une litière + une litière de réserve. Pour un chat vivant à l’intérieur mais ayant accès libre à l’extérieur (outdoor), une seule litière suffit. 
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur (indoor), il faudra installer une litière par chat + une litière de réserve.
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur avec accès à l’extérieur (outdoor), il faudra une litière par chat. 
Nombre de litières par étage : Selon le mode de calcul ci-dessus pour le nombre de litière par chat, il faut multiplier par le nombre d’étages accessibles au chat. Ex : Si le chat va au rez de chaussée et au 1er étage et qu’il ne vit qu’à l’intérieur de la maison, il lui faudra 1 litière par étage + une litière de réserve placée dans la zone de vie la plus fréquentée (soit 3 litières).
Règles d’hygiène pour nettoyer la litière : Penser à bien vous laver les mains au savon en frottant sous les ongles après le nettoyage ou portez des gants. 
Pensez également à vermifuger régulièrement votre chat selon le protocole de votre vétérinaire. Le vermifuge n’a pas d’efficacité dans le temps, il tue sur l’instant. Les vers peuvent vivre enkystés dans l’organisme tout au long de la vie du chat et ressortir à n’importe quel moment. Il est donc important de le vermifuger régulièrement même s’il ne sort pas. Certaines verminoses sont transmissibles à l’homme.
Nettoyage de la litière : Il faut retirer les déjections tous les jours. Quelle personne accepterait d’uriner ou de déféquer dans des toilettes sales où la chasse d’eau n’aurait pas été tirée ? Le chat est un grand sensible et ne supporte pas plus cette situation que nous ! D’ailleurs lorsqu’il est incommodé par l’état de ses toilettes, il recouvre ses déjections. Plus il passe du temps à recouvrir et plus la situation est incommodante pour lui. Il est donc plus que temps de nettoyer de son point de vue. Certains chats ont même besoin que la litière soit nettoyée après chaque passage. 
Pour les plus frileux d’entre nous, il existe sur le marché divers types de litières autonettoyantes. Il existe également des sacs tamis jetables avec lesquels le nettoyage ne prend que 10 secondes sans se salir les mains et sans utiliser de pelle.
Nettoyage du bac : Il faut le nettoyer une fois par semaine avec un produit non irritant pour le chat dont l’odorat est sensible. Oublier les produits à base d’arguments ou de senteur trop forte. Pour bien faire, il faut nettoyer avec un détergent doux (type savon ou liquide vaisselle), rincer puis passer de l’eau de javel et rincer à nouveau avant de sécher.
Conseils spécifiques selon les cas : 
Les chatons : Lors de l’arrivée du chaton, il est conseillé d’utiliser le même substrat que celui utilisé par l’ancien propriétaire. Si vous souhaitez changer par la suite, il faudra faire une transition (comme lors d’un changement d’aliments) afin de mieux lui faire accepter. Attention aux chatons élevés à l’extérieur et dont le substrat était de la terre ou du sable. Il faudra mélanger ce substrat naturel à un substrat industriel relativement meuble pour une meilleure adaptation.
Les chats malades : L’association toilettes/douleurs peut provoquer de la malpropreté. Ceci est remarqué chez les chats attend de maladie du bas appareil urinaire (cystite, calculs urinaires, polype vésical…). Il est important de  prendre les mesures d’usage pour corriger cette appréhension.
Les chats en convalescence : Il faut penser à modifier certains paramètres selon l’état du chat. S’il porte un carcan (collerette) ou un gros pansement (type Robert Jones), il faudra modifier l’accès à ses toilettes. Penser à retirer le haut de la maison de toilette par exemple. Réduire le chemin entre son aire de déjections et les autres aires. 
Les vieux chats : La mobilité peut être réduite chez les vieux chats et les douleurs articulaires (arthrose) peuvent décourager ces derniers à aller jusqu’à la litière car cela est trop fatigant et trop douloureux. Il faut veiller à changer de bac pour qu’il soit plus accessible et de rapprocher l’aire de déjections de son lieu de repos.
D’autres articles sont disponibles sur les comportements de déjections, la malpropreté et les besoins spécifiques du chat. N’hésitez pas à parcourir cette rubrique ! 
 
Article rédigé par Valérie CANTALOUBE

Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes avec une possibilité d'observer les abords de ce lieu et de fuir si nécessaire . L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation de l'espace de vie du chat et peut déclencher un mal-être traduit par une élimination hors litière.

 

L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement (A quel endroit dans la maison ? Dans quel type de bac ? Dans quel type de substrat ?).

 

Quel bac utilisé : Le modèle de bac doit tenir compte des habitudes antérieures du chat et de sa personnalité. Certains d’entre eux ont peur du bruit et du mouvement de la porte oscillante des maisons de toilette. D’autres n’aiment pas être enfermés et préfèrent un bac ouvert simple. A contrario, certains ne supportent pas d’être à vue et veulent un bac couvert.

 

A quel endroit mettre le bac : Le bac à litière doit être mis dans un endroit calme, discret, à l'abri des zones de passage de préférence dans un coin avec un dégagement pour fuir au besoin et non au milieu d’une pièce. Le chat emprunte toujours les mêmes chemins qu’il balise (marquages chimiques, olfactifs et visuels) pour se rendre d’une aire à l’autre. Longer les murs lui permet un état de vigilance moins accru car il trouve des cachettes naturelles (arrière ou dessous de meubles par ex). 

 

Quel substrat utilisé : Comme pour le type de bac, il faut demander à l’ancien propriétaire quel type de matière était utilisée. Le modèle de substrat ne doit pas être modifié lorsque le chat y est habitué. Une matière trop dure, trop lourde, trop poussiéreuse, trop odorante peut le perturber et l’inciter à faire ailleurs. Si pour une raison précise, vous devez changer de substrat, il faut toujours faire une transition, un test avant de le changer complètement. Attention aux substrats qui durent plusieurs semaines sans être changés (type silice) qui sont des nids à odeurs et à germes. Ceci peut provoquer une aversion à la litière et pousser le chat à se soulager ailleurs.

Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement.
Quel bac utilisé : Le modèle de bac doit tenir compte des habitudes antérieures du chat et de sa personnalité. Certains d’entre eux  ont peur du bruit et du mouvement de la porte oscillante des maisons de toilette. D’autres n’aiment pas être enfermés à cause de l’odeur résiduelle et préfèrent un bac ouvert simple. A contrario, certains ne supportent pas d’être à vue et veulent un bac couvert. 
Le bac à litière doit être mis de préférence contre un mur, un angle et non au milieu d’une pièce. Le chat emprunte toujours les mêmes chemins qu’il balise par ses phéromones pour se rendre d’une aire à l’autre. Longer les murs lui permet un état de vigilance moins accru. Il sera plus serein pour faire ses besoins.
Quel substrat utilisés : Comme pour le type de bac, il faut demander à l’ancien propriétaire quel type de matière était utilisée. Le modèle de substrat ne doit pas être modifié lorsque le chat y est habitué. Une matière trop dure, trop lourde, trop poussiéreuse, trop odorante peut le perturber et l’inciter à faire ailleurs. Si pour une raison précise, vous devez changer de substrat, il  faut toujours faire une transition, un test avant de le changer complètement.
Règles d’or pour éviter le mal-être et la malpropreté : 
Nombre de litières par chat : 
Pour un chat vivant exclusivement à l’intérieur (indoor) Il faut une litière + une litière de réserve. Pour un chat vivant à l’intérieur mais ayant accès libre à l’extérieur (outdoor), une seule litière suffit. 
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur (indoor), il faudra installer une litière par chat + une litière de réserve.
Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur avec accès à l’extérieur (outdoor), il faudra une litière par chat. 
Nombre de litières par étage : Selon le mode de calcul ci-dessus pour le nombre de litière par chat, il faut multiplier par le nombre d’étages accessibles au chat. Ex : Si le chat va au rez de chaussée et au 1er étage et qu’il ne vit qu’à l’intérieur de la maison, il lui faudra 1 litière par étage + une litière de réserve placée dans la zone de vie la plus fréquentée (soit 3 litières).
Règles d’hygiène pour nettoyer la litière : Penser à bien vous laver les mains au savon en frottant sous les ongles après le nettoyage ou portez des gants. 
Pensez également à vermifuger régulièrement votre chat selon le protocole de votre vétérinaire. Le vermifuge n’a pas d’efficacité dans le temps, il tue sur l’instant. Les vers peuvent vivre enkystés dans l’organisme tout au long de la vie du chat et ressortir à n’importe quel moment. Il est donc important de le vermifuger régulièrement même s’il ne sort pas. Certaines verminoses sont transmissibles à l’homme.
Nettoyage de la litière : Il faut retirer les déjections tous les jours. Quelle personne accepterait d’uriner ou de déféquer dans des toilettes sales où la chasse d’eau n’aurait pas été tirée ? Le chat est un grand sensible et ne supporte pas plus cette situation que nous ! D’ailleurs lorsqu’il est incommodé par l’état de ses toilettes, il recouvre ses déjections. Plus il passe du temps à recouvrir et plus la situation est incommodante pour lui. Il est donc plus que temps de nettoyer de son point de vue. Certains chats ont même besoin que la litière soit nettoyée après chaque passage. 
Pour les plus frileux d’entre nous, il existe sur le marché divers types de litières autonettoyantes. Il existe également des sacs tamis jetables avec lesquels le nettoyage ne prend que 10 secondes sans se salir les mains et sans utiliser de pelle.
Nettoyage du bac : Il faut le nettoyer une fois par semaine avec un produit non irritant pour le chat dont l’odorat est sensible. Oublier les produits à base d’arguments ou de senteur trop forte. Pour bien faire, il faut nettoyer avec un détergent doux (type savon ou liquide vaisselle), rincer puis passer de l’eau de javel et rincer à nouveau avant de sécher.
Conseils spécifiques selon les cas : 
Les chatons : Lors de l’arrivée du chaton, il est conseillé d’utiliser le même substrat que celui utilisé par l’ancien propriétaire. Si vous souhaitez changer par la suite, il faudra faire une transition (comme lors d’un changement d’aliments) afin de mieux lui faire accepter. Attention aux chatons élevés à l’extérieur et dont le substrat était de la terre ou du sable. Il faudra mélanger ce substrat naturel à un substrat industriel relativement meuble pour une meilleure adaptation.
Les chats malades : L’association toilettes/douleurs peut provoquer de la malpropreté. Ceci est remarqué chez les chats attend de maladie du bas appareil urinaire (cystite, calculs urinaires, polype vésical…). Il est important de  prendre les mesures d’usage pour corriger cette appréhension.
Les chats en convalescence : Il faut penser à modifier certains paramètres selon l’état du chat. S’il porte un carcan (collerette) ou un gros pansement (type Robert Jones), il faudra modifier l’accès à ses toilettes. Penser à retirer le haut de la maison de toilette par exemple. Réduire le chemin entre son aire de déjections et les autres aires. 
Les vieux chats : La mobilité peut être réduite chez les vieux chats et les douleurs articulaires (arthrose) peuvent décourager ces derniers à aller jusqu’à la litière car cela est trop fatigant et trop douloureux. Il faut veiller à changer de bac pour qu’il soit plus accessible et de rapprocher l’aire de déjections de son lieu de repos.
D’autres articles sont disponibles sur les comportements de déjections, la malpropreté et les besoins spécifiques du chat. N’hésitez pas à parcourir cette rubrique ! 
Article rédigé par Valérie CANTALOUBE

 

Nombre de litières par chat : Pour un chat vivant exclusivement à l’intérieur (indoor) Il faut une litière + une litière de réserve. Pour un chat vivant à l’intérieur mais ayant accès libre à l’extérieur (outdoor), une seule litière peut suffire (bien que certains veulent une litière pour uriner et une litière pour déféquer). Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur (indoor), il faudra installer une litière par chat + une litière de réserve. Pour plusieurs chats vivants à l’intérieur avec accès libre à l’extérieur (outdoor), il faudra une litière par chat. Je parle d'accès libre, lorsque le chat dispose d'une chatière par laquelle il peut sortir et rentrer à sa guise 24h/24. Si le chat ne sort que lorsque son maître lui ouvre la porte, il revient d'appliquer les conseils notés pour les chats indoor (soit 1 litière par chat + 1 de réserve) pour éviter tout problème de malpropeté.

Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnement.

 

Nombre de litières par étage : Selon le mode de calcul ci-dessus pour le nombre de litière par chat, il faut multiplier par le nombre d’étages accessibles au chat. Ex : Si le chat va au rez de chaussée et au 1er étage et qu’il ne vit qu’à l’intérieur de la maison, il lui faudra 1 litière par étage + une litière de réserve placée dans la zone de vie la plus fréquentée (soit 3 litières).

 

Règles d’hygiène pour nettoyer la litière : Penser à bien vous laver les mains au savon en frottant sous les ongles après le nettoyage ou portez des gants.

Pensez également à vermifuger régulièrement votre chat selon le protocole de votre vétérinaire. Le vermifuge n’a pas d’efficacité dans le temps, il tue sur l’instant. Les vers peuvent vivre enkystés dans l’organisme tout au long de la vie du chat et ressortir à n’importe quel moment. Il est donc important de le vermifuger régulièrement même s’il ne sort pas. Certaines verminoses sont transmissibles à l’homme.

 

Nettoyage de la litière : Il faut retirer les déjections tous les jours. Quelle personne accepterait d’uriner ou de déféquer dans des toilettes sales où la chasse d’eau n’aurait pas été tirée ? Le chat est un grand sensible et ne supporte pas plus cette situation que nous ! D’ailleurs lorsqu’il est incommodé par l’état de ses toilettes, il recouvre ses déjections. Plus il passe du temps à recouvrir et plus la situation est incommodante pour lui. Il est donc plus que temps de nettoyer de son point de vue. Certains chats ont même besoin que la litière soit nettoyée après chaque passage. Pour les plus frileux d’entre nous, il existe sur le marché divers types de litières autonettoyantes. Il existe également des sacs tamis jetables avec lesquels le nettoyage ne prend que 10 secondes sans se salir les mains et sans utiliser de pelle. Tout est une question de tolérance et de préférence de votre chat.

 

Nettoyage du bac : Il faut le nettoyer une fois par semaine avec un produit non irritant pour le chat dont l’odorat est sensible. Oubliez les produits à base d’arguments ou de senteur trop forte. Pour bien faire, il faut nettoyer avec un détergent neutre (enzymatiques), rincer puis passer de l’eau de javel et rincer à nouveau avant de sécher. Le mieux étant de le remplacer tous les 12 à 18 mois maximum car il s’imprègne des odeurs résiduelles d'urines et de fèces.

 

Conseils spécifiques selon les cas :

 

Les chatons : Lors de l’arrivée du chaton, il est conseillé d’utiliser le même substrat que celui utilisé par l’ancien propriétaire. Si vous souhaitez changer par la suite, il faudra faire une transition (comme lors d’un changement d’aliments) afin de mieux lui faire accepter. Attention aux chatons élevés à l’extérieur et dont le substrat était de la terre ou du sable. Il faudra mélanger ce substrat naturel à un substrat industriel relativement meuble pour une meilleure adaptation.

 

Les chats malades : L’association toilettes/douleurs peut provoquer de la malpropreté. Ceci est remarqué chez les chats attend de maladie du bas appareil urinaire (cystite, calculs urinaires, polype vésical…). Il est important de prendre les mesures d’usage pour corriger cette appréhension.

 

Les chats en convalescence : Il faut penser à modifier certains paramètres selon l’état du chat. S’il porte un carcan (collerette) ou un gros pansement (type Robert Jones), il faudra modifier l’accès à ses toilettes. Penser à retirer le haut de la maison de toilette par exemple. Réduire le chemin entre son aire de déjections et les autres aires.

 

Les vieux chats : La mobilité peut être réduite chez les vieux chats et les douleurs articulaires (arthrose) peuvent décourager ces derniers à aller jusqu’à la litière car cela est trop fatigant et trop douloureux. Il faut veiller à changer de bac pour qu’il soit plus accessible et de rapprocher l’aire de déjections de son lieu de repos pour éviter les trajets trop longs pour lui.

 

D’autres articles sont disponibles sur les comportements de déjections, la malpropreté et les besoins spécifiques du chat. N’hésitez pas à parcourir cette rubrique !

 

Article rédigé par Valérie CANTALOUBE

 

 

 

 

Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.
L’aire de déjections (son coin toilette) doit être loin de son coin repas et loin de son coin repos car s’ils sont trop rapprochés cela perturbe l’organisation du territoire de vie du chat et déclencher un mal-être traduit sous forme de malpropreté. 
L’apprentissage de la propreté : Elle se fait lors de la phase de sevrage alimentaire (vers 4 semaines) selon les modalités proposées par la mère (et son éleveur). Il est utile de demander lors de l’acquisition du chat, quelles étaient ses habitudes à ce sujet afin d’éviter tous accidents potentiels et d’optimiser son adaptation à votre environnemenCe qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.Ce qu’il aime : Comme l’humain, le chat veut être en sécurité et souhaite de l’intimité pour faire ses besoins. Il faut donc lui installer un coin toilette à l’abri de toutes perturbations ambiantes.